Le droit de la famille recouvre aussi bien le droit du mariage que le droit du divorce, les droits des conjoints et ceux des enfants. L’évocation du droit de la famille fait souvent écho au divorce ou aux difficultés conjugales liées à une séparation. Dans ce type de situations le recours à la justice est souvent inéluctable (mesures protectrices de l’union conjugale, procédure de divorce). Heureusement beaucoup de procédures se soldent par une convention. Mais pour parvenir à un tel accord, les parties ont le plus souvent besoin de recourir aux services d’un avocat, afin d’élaborer une convention qui permette de régler les différents aspects indispensables à un divorce dit à l’amiable. Si un accord ne peut pas être trouvé, le juge devra en particulier statuer sur l’attribution de la garde, de l’autorité parentale sur les enfants et du logement familial, sur l’octroi des pensions alimentaires, sur la répartition des biens (liquidation du régime matrimonial) et de la prévoyance professionnelle
C’est également en dehors du mariage que le droit de la famille déploie de nombreux effets. Les couples ayant fait le choix de l’union libre ou du concubinage seront confrontés à de nombreuses questions, en particulier en présence d’enfants communs (obligation d’entretien, autorité parentale, droit de garde, etc.).
Le droit de la famille régit encore les conditions à respecter en matière d’adoption de mineurs et même de personnes majeures, domaine complexe entre tous, surtout sur le plan international. Enfin, la protection de l’adulte et de l’enfant couvre elle aussi un très vaste champ de cas délicats, allant de la protection de mineurs en danger (retrait du droit de garde et placement en foyer, par exemple), à l’institution d’une curatelle en faveur de personnes incapables de gérer leurs affaires en raison de l’âge ou de leur état de santé.
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